Une descendance
nombreuse
Bien nés, bien utilisés, les Mirages
III ont aussi été exportés dans de nombreux pays.
Certains des anciens clients de Dassault ont cherché à se
doter d'une industrie aéronautique, soit par souci d'indépendance
nationale, soit parcequ'ils y ont été contraint par un embargo
décrété par la communauté internationale.
Les cellulles de Mirage sont devenues la base à
partir de laquelle ces pionniers ont décliné des avions au
look parfois exotique, mais qui ont assuré au modèle une
descendance que Dassault n'a pas voulu lui donner, passant sans transition
du Mirage III aux Mirage à ailes en flèche (F1, F2, G).
Il ne s'agit pas ici de traiter des modifications mineures, comme par
exemple le nez "recconnaissance" monté sur certains Mirages australiens.
Seul les chantiers équivalents au moins à un rétrofit
seront abordés.
Les deux principaux pays à avoir travaillé
à la descendance du Mirage III sont :